Frédéric Mai
Bonjour à toutes les exploratrices et à tous les explorateurs « Oser Ma Vie », et nous avons avec nous aujourd'hui une célébrité du développement personnel sur son continent, l'Amérique Latine.
Il est beaucoup moins connu en France, mais je souhaitais l'accueillir tant j'apprécie ses messages et la façon dont il les véhicule.
Bienvenue Omar Villalobos. Et merci d'avoir accepté cette invitation.
Omar Villalobos (traduction)
A contrario, merci, merci beaucoup et merci pour cette invitation.
Frédéric Mai
Bonjour Maud, et merci de tout cœur de m'accompagner aujourd'hui. Ce moment n'aurait pu être possible sans toi.
Alors Omar, merci vraiment d'avoir répondu présent à mon invitation et c'est un honneur de te recevoir dans cette émission Oser Ma Vie.
Oser Ma Vie, c'est le podcast qui vous permet d'imaginer, d'initier et de créer la vie que vous voulez.
Omar Villalobos (traduction)
C'est vraiment un chouette concept, le fait de d’imaginer, ensuite d'être dans l'action, de créer, pour justement devenir ce que tu veux. Vraiment bravo, c’est un super concept.
Frédéric Mai
Aujourd'hui, nous allons voir ensemble, à travers ton chemin Omar, tes moments forts et tes clins d'œil, comment tu osé ta vie, comment tu inspires aujourd'hui des milliers de personnes sur cette terre, et comment s'y prendre pour tous ceux qui voudraient oser leur vie ? C'est OK pour toi.
Omar Villalobos (traduction)
Oui, avec plaisir, moi, je suis un livre ouvert.
Frédéric Mai
Omar, tu es auteur, coach, conférencier, producteur, et on peut dire artiste atypique.
Fait que l'impossible devienne possible, telle est ta devise.
Je ne saurais te décrire de manière exhaustive tant tu es surprenant et imprévisible. Mais ce qui est sûr, c'est que tu inspires le monde. J'ai vu certaines de tes interventions. Tu as la pêche, tu es un homme libre et tu expliques le développement humain et la psychologie de façon pratique comme personne.
Omar Villalobos (traduction)
Quand j’ai commencé, je me suis inscrit à l'Université de psychologie. Le premier jour, j’ai ouvert mon cabinet. Le premier jour, je n'avais pas commencé, et j’ai ouvert en informant que je ne pouvais pas faire payer. Mais vraiment j’étais là pour écouter. J’apprends par l'action.
Frédéric Mai
Est-ce que c'est vrai que tu as organisé l'événement le plus gros câlin du monde en 2012 au Pérou. C'est génial. En quoi cela consistait?
Omar Villalobos (traduction)
L'idée du gros câlin, qui est vraiment l’embrassade en français, c'était de nettoyer toute cette violence.
Nous avons fait des conférences pour expliquer l’importance de la tendresse entre les personnes, et en fait, le point final, qui a permis d’atteindre le Guinness des records, c’est que 12000 personnes ensemble devaient se faire une embrassade.
C’était une organisation qui s’appelait Sendero Luminoso et qui était vraiment violente, ça fait partie des clans en Amérique Latine, qui n’existait plus à ce moment-là. Mais en fait, les villages avaient encore cette peur par rapport à cette violence. Et donc, un des moyens a été celui-ci de travailler sur la tendresse, et les embrassades.
Frédéric Mai
Le plus gros câlin, ça me parle vraiment beaucoup, surtout en ce moment en pleine période Covid.
Omar Villalobos (traduction)
Pour moi aussi, c’était très important en cette période de Covid, où l’on a encore plus besoin de se faire des câlins à nous-même. Même si l’on est tout seul, le corps réagit toujours.
Frédéric Mai
Alors Omar, nous te connaissons peu en Europe et c'est bien dommage, tant ta contribution au monde est précieuse et généreuse. Et je suis donc ravi d'offrir aux auditeurs francophones ta vision, ton univers et ton expertise de l’humain.
Mais Omar Villalobos, qui es-tu donc ?
Omar Villalobos (traduction)
Merci. D’abord, je suis heureux. Ça a été ma priorité, de trouver d’abord cette joie et ce bonheur. J'ai toujours été derrière.
Et en plus, si moi je ne suis pas heureux, je ne peux pas faire que les autres soient heureux autour de moi. En fait, ma mission, c'était vraiment de donner de l'amour pour les autres.
Deuxièmement, je suis libre, j'ai vraiment besoin de rien. J'ai juste besoin d'avoir mon passeport, une carte bancaire et je peux partir n'importe où dans le monde. C'est vraiment une de valeurs.
1 - heureux, 2 - libre.
Et troisièmement, je suis en apprentissage constant sur l’être humain. J’aime vois pourquoi les gens sentent ce qu’ils sentent, pourquoi ils pensent ce qu’ils pensent, pourquoi ils décident ce qu’ils décident, et je suis vraiment obsessif sur la conduite humaine. C’est vraiment ce que je regarde tout le temps. Toujours dans l'apprentissage.
Mais surtout, je suis papa de six enfants. Et justement, c'est un bon petit laboratoire. J'utilise mes six enfants pour travailler, c'est vraiment mon laboratoire.
Frédéric Mai
J'adore le laboratoire des six enfants, c'est bien. Et quel âge ont les enfants? Le plus jeune et le plus âgé?
Omar Villalobos (traduction)
Que des adolescents de 11 à 20 ans.
Frédéric Mai
Alors Omar, nous allons parler un peu de ton parcours.
Et pour commencer, quel enfant étais tu, Omar?
Omar Villalobos (traduction)
Déjà, ma maman m’a eu quand elle était très très jeune, elle m’a eu à 14 ans. Donc c'était ma pote, c'était mon amie et elle, elle l'expérimentée aussi sur moi.
Et je pense que c'est pour ça qu’aujourd'hui, je me fais la même chose avec mes enfants.
Frédéric Mai
À ton avis, Omar, est ce que ton enfance te prédestinait à devenir qui tu es aujourd'hui ?
Omar Villalobos (traduction)
Oui et non, parce qu'en fait, toute la famille, mon papa avait une entreprise de construction. Mon grand-père était dedans, mon père était dedans, et moi j'ai travaillé dedans. Mais j'ai vraiment cassé cette filiation, et j'ai décidé d’être psychologue.
Je pense que vraiment, la réponse est oui, car mon père, justement, en voulant, par son obsession poursuivre cette tradition, a fait que justement, je suis devenu comme ça. Donc oui, la réponse est oui.
Frédéric Mai
Alors, qu'est-ce que tu voudrais dire à tes parents aujourd'hui ?
Omar Villalobos (traduction)
Un, merci, merci pour la vie qu'ils m'ont donné.
Deux, je vous comprends, je comprends les erreurs que vous avez faites et toutes les bonnes choses que vous m'avez données aussi.
Trois, je leur demande pardon, parce que si je n’ai pas été l'enfant qu’ils voulaient, il n'y avait pas moyen, que ce soit différent.
Et quatre, je leur pardonne car je respecte et célèbre leur vie. Je suis très content.
Frédéric Mai
Et alors, Omar, qu'est ce qui t'a donné envie à un moment donné de t’orienter vers la psychologie et le développement humain, et de les transmettre de façon si atypique et si personnelle ?
Omar Villalobos (traduction)
Réellement, ça a été une recherche personnelle de devoir me comprendre, d'être bien, et j'ai commencé à lire et à lire des informations sur la psychologie, comme sur la philosophie, qui sont vraiment très liées ensemble, et c'était vraiment ça la source qui m’a mené à la psychologie. Mais j'ai beaucoup, beaucoup lu.
Frédéric Mai
Mais alors Omar, qu'as-tu fait et qu’as-tu osé pour en arriver là, où tu en es aujourd'hui ?
Omar Villalobos (traduction)
En fait, le mot correct, c'est vraiment osé. J'ai vraiment toujours osé depuis que je suis petit.
J’ai fait moi-même à 16 ans mes premières cassettes, justement sur la psychologie.
Donc, je faisais les enregistrements, vraiment pour moi, pour voir ce que ça donnait. Et un jour, l'ami d’une amie de ma maman a pris une cassette, a commencé à l'écouter dans sa voiture et elle a adoré.
Et c’est ma maman, qui m’a demandé d'autres cassettes pour ses autres amies avec différents sujets, et ma maman m’a dit mais qu’en plus, je pourrais les vendre. Et à ce moment-là, je les vendais 10 dollars la cassette. Ça fait trente ans.
Donc, après les cassettes, évidemment, il y avait les CD qui sont arrivés, et donc j’ai continué avec les CD. Ça s'est vendu au niveau national et après au niveau Amérique latine. Et ensuite, j’ai du sortir pour aller faire ce genre de conférence, mais directement avec le public.
Frédéric Mai
Sur ton parcours, Omar, quelle est la rencontre qui t'a le plus inspiré ? Celle qui t'a donné envie de faire ce que tu fais aujourd'hui ?
Omar Villalobos (traduction)
En fait, j'ai rencontré beaucoup de personnes dans ma vie, mais c'est vrai que la rencontre la plus importante était le Dalaï Lama qui m'a vraiment enseigné, montré, que c'était possible de ne rien dire. Et juste ça, ça permet d'être bien.
Et donc le plus important de tout, c'est qu’il a pu transmettre de la joie à tout le monde à 4000 personnes qui étaient là. Il est juste arrivé sur la scène, il a commencé à rire, et tout le monde a ressenti cette joie, ce bonheur, et a commencé à rire aussi, juste avec ce rire et sans rien dire.
Frédéric Mai
Formidable. Alors, quand tu as décidé de te lancer, est-ce que certaines personnes ont tenté de te décourager ?
Omar Villalobos (traduction)
Alors oui, complètement. Il y a beaucoup de personnes qui m'ont dit que c'était n'importe quoi, surtout qu’à ce moment-là, mes parents étaient en train de divorcer. Et j'ai commencé à bégayer. Donc évidemment, moi qui voulais parler en public, tout le monde disait que c’était impossible puisque je bégayais.
Ma maman me disait, fais ce que tu veux, mais ne fais pas un métier où il faut que tu parles. Et mon papa, quand je lui ai dis que je voulais être psychologue, et qu'en plus je voulais faire des conférences sur la psychologie, il m'a regardé et il m'a dit un gros mot en mexicain. Il n'y a pas de traduction littérale en français et il m'a donné une tape.
Frédéric Mai
Et justement, sur ton parcours, quel a été ton plus gros obstacle au-delà du bégaiement et des comportements de tes parents qui n'acceptaient pas trop ta voie ?
Omar Villalobos (traduction)
L'obstacle, c'était la peur, mais réellement, l'obstacle, c'est à l’intérieur de moi. Les obstacles externes, ce n'est rien du tout. Le problème, et ce que j'ai appris vraiment, c'est le fait que tout est interne. Quand j'ai réussi à passer ces obstacles internes, il n’y avait plus aucun problème.
Frédéric Mai
C'est vrai qu'on est souvent notre premier plus gros obstacle.
Omar Villalobos (traduction)
Oui, on s'arrête, on ne fait pas les choses parce qu'on a peur du futur, on a peur de ce qui va se passer.
En fait, à un moment, je me suis dit, et si je m'inventais un futur différent, qu'est ce qui se passerait ?
Frédéric Mai
Alors, est-ce qu'à un moment, tu t’es dit, je n'y arriverai pas, au risque de tout abandonner ?
Omar Villalobos (traduction)
Alors oui, il y a eu un moment, il n'y a pas très longtemps, il y a cinq ans, quand mon manager avec qui je faisais les tournées est décédé d'une crise cardiaque après avoir été dans sept villes en Bolivie en huit jours. Il a été en train de jouer au foot et il a eu cette crise cardiaque. À ce moment-là, je me suis demandé si vraiment ce que je faisais valait quelque chose.
Et à ce moment là où j’ai pensé abandonner, c’est là où je me suis rendu compte aussi que mon personnage qui avait été créé au niveau digital, et tout ce que j’ai apporté pour les gens, pour que les gens continuent et avancent dans leur vie, je ne pouvais pas le laisser. Et je me suis aussi rendu compte qu'en fait, j’étais la personne et le personnage.
Frédéric Mai
Omar, qu'est-ce que tu fais pour être toujours au top avec le sourire et avec tant d'énergie?
Omar Villalobos (traduction)
Un. L'entraînement, l'entrainement, l'entraînement, l'entraînement et encore de l'entraînement.
Deux. C’est avoir une routine vraiment personnelle de travail sur soi.
J’utilise aussi la respiration, des exercices, des mouvements spéciaux afin de rentrer vraiment dans cet état.
Par exemple, quand tu penses à la tristesse, tu deviens triste, quand tu penses à un moment joyeux, tu deviens joyeux, donc pour justement accéder à cet état de pouvoir et de parler, etc. Ben voilà, je rentre dans ce moment-là.
Frédéric Mai
Donc c'est le pouvoir de changer ton état intérieur à un moment donné, quand tu en as besoin.
Omar Villalobos (traduction)
Ce serait super chouette si j’arrivais à le faire pour tous les domaines. Mais réellement, je le fais principalement pour mon travail de conférencier et pour parler avec les personnes. Mais comme moi, je suis une personne normale et donc il y a des moments où je suis dans les émotions.
Frédéric Mai
Alors Omar, j'aime lorsque tu parles de l'équaliseur humain, et en quelques mots, pourrais-tu nous expliquer quels pouvoirs nous avons grâce à cet équaliseur personnel ?
Omar Villalobos (traduction)
Donc en fait, je pense que vraiment que nous, les êtres humains, on a des qualités, on a des compétences, on a des capacités. Et donc, selon ce que tu as envie de faire, tu travailles dessus. Donc quand tu as envie d'être heureux, tu repenses un moment où tu étais heureux, et donc tu retrouves ce côté de la joie.
Pareil, si tu es avec quelqu'un de très intelligent, tu évolues au niveau de ton intelligence. Si tu es avec quelqu'un qui serait dans l'amour, tu peux évoluer au niveau de l’amour etc. Dans le romantisme, c'est pareil, tu peux évoluer sur le romantisme pour être à l’égal.
Frédéric Mai
Donc, finalement, on a tous les pouvoirs.
Omar Villalobos (traduction)
Alors oui, totalement. Si on comprend que les pouvoirs ne viennent pas de l’extérieur, quand on s’accomplit de l'intérieur, en effet, nous avons tous les pouvoirs. Parce qu'on nous a fait croire que ça venait de l'extérieur, comme les superhéros, et en fait vraiment tout est là à l'intérieur.
Les superhéros, ça vient de l’extérieur. Batman, de l'argent et une voiture, Spiderman, avec l'araignée qui fait qu’il a des pouvoirs, Hulk, il a pris une potion donc il est fort…
Mais en fait nos pouvoirs sont vraiment en nous, à l’intérieur de nous.
Frédéric Mai
Une bonne potion magique, justement, c'est OSER.
Omar Villalobos (traduction)
Oui, donc, en fait, tous les pouvoirs sont vraiment dans nous. Et donc, en effet, il faut oser sa vie, mais aussi savoir prendre la responsabilité de ses actions. Donc, en fait, il faut vraiment avoir aussi cette capacité.
Frédéric Mai
OK, justement, à ton avis, quelles seraient les premières bonnes étapes pour oser sa vie en 2021 ?
Omar Villalobos (traduction)
La première étape, c'est vraiment t'inventer un futur merveilleux. C'est le plus important, le futur n'existe pas, tu peux alors t’inventer un super futur.
Donc, en fait, si le futur n'existe pas, pourquoi j'essaie de trouver un futur où je vais souffrir, pourquoi je m'invente un futur où les choses vont être triste ? Non, justement, c'est le moment. Tu peux imaginer un futur heureux, pour que ton corps sente vraiment cette sensation et profite d'un bon moment pour un futur merveilleux.
Frédéric Mai
Qu'est-ce que tu pourrais conseiller à nos auditeurs qui pensent que ce n'est pas possible ou qu'ils ne sont pas capables ou qu'ils ont peur, tout simplement ?
Omar Villalobos (traduction)
Je regarderai quelle est la croyance limitante, et réellement pourquoi ils pensent que ce n'est pas possible. D’où leur vient cette idée ? C'est vraiment le premier travail que je ferais, travailler sur le pourquoi ils pensent que ce n'est pas possible.
Pourquoi c'est important de se poser ces questions? C'est justement parce qu'en fait, c'est là où on commence à prendre conscience, et donc d'avoir le doute que peut-être que c'est possible.
Donc, en fait, quand tu as mis la graine dans la tête de la personne qui y a un doute, tu peux inventer ce futur plus agréable, plus positif, et donc, c'est psychologiquement confirmé, c'est de la psychologie simple, ton cerveau va prendre ce qui est le plus agréable, donc la partie future agréable.
Frédéric Mai
Et pour conclure Omar, quel dernier message souhaiterais-tu délivrer à tous ceux qui souhaitent oser leur vie.
Omar Villalobos (traduction)
D'abord, ça serait vraiment que tu écoutes tes émotions.
Alors oui, je sais qu'on nous a appris que nos émotions peuvent être bizarres, pas agréables, qu’elles peuvent être mauvaises.
Mais en fait, les émotions sont mon moteur. Donc, si tu ne fais pas attention à tes émotions, tu vas perdre 80% du régime qui te permettra de mieux te connaître.
Je vais te soumettre une réflexion : Séparer l’émotion de l’intelligence.
Celui qui a peur de ses émotions, quand il pense qu'avec son intelligence, il ne peut pas gérer ses émotions.
Ce n’est pas parce que tu ne ressens pas que tu es moins intelligent.
Au contraire, c'est vraiment quand toi tu sens justement toutes ces émotions, que tu auras l'intelligence pour les gérer. Arrête d'avoir peur de toi même, arrête d'avoir peur de toi même.
Frédéric Mai
Et puis, si tu le veux bien, eh bien, nous allons terminer par notre instant Question réponse flash. Je te propose des affirmations ou des questions, et tu me réponds du tac au tac.
Frédéric Mai
Alors super, ta couleur préférée ?
Omar Villalobos (traduction)
Le noir.
Frédéric Mai
Un petit plat que tu adores ?
Omar Villalobos (traduction)
Les tacos.
Frédéric Mai
Une qualité que tu sais voir chez toi ?
Omar Villalobos (traduction)
La joie
Frédéric Mai
Plutôt bise ou poignée de main ?
Omar Villalobos (traduction)
Bises
Frédéric Mai
Le souvenir d'une bonne odeur dans ta jeunesse ?
Omar Villalobos (traduction)
L’odeur propre de ma maison, ça sentait les fleurs…
Frédéric Maii
Si tu étais un anima, tu serais ?
Omar Villalobos (traduction)
Un aigle.
Frédéric Mai
Plutôt méditation, jogging ?
Omar Villalobos (traduction)
Plutôt méditation, mais je fais aussi de l’escalade
Frédéric Mai
L'objet qui te suit partout ?
Omar Villalobos (traduction)
Mes lunettes.
Frédéric Mai
Plutôt terre, eau, air ou feu.
Omar Villalobos (traduction)
Le feu
Frédéric Mai
OK, le mot grossier que tu utilises le plus ?
Omar Villalobos (traduction)
Pas de traduction en français
Frédéric Mai
Mojito ou jus d’orange ?
Omar Villalobos (traduction)
Mojito avec de la tequila
Frédéric Mai
Le nom de ton doudou quand tu étais enfant ?
Omar Villalobos (traduction)
Je n’avais pas de doudou, mais j’avais un petit chien s'appelait Ours
Frédéric Mai
Plutôt rock ou classique ?
Omar Villalobos (traduction)
Les deux
Frédéric Mai
Lève tôt ou couche-tard ?
Omar Villalobos (traduction)
Couche-Tard
Frédéric Mai
Une situation qui te fait rire ?
Omar Villalobos (traduction)
Quand je me trompe
Frédéric Mai
Alors Omar, merci, merci de tout cœur d'avoir partagé ce moment avec nous.
Et pour terminer, je te poserai encore une dernière question : Quels sont tes projets pour cette année ?
Omar Villalobos (traduction)
Alors, je travaille sur une série pour une plateforme qui s'appelle Vivre de la langue, c'est à dire de la communication. Donc oui, il y aura des interviews justement avec des personnes qui travaillent dans et avec la communication.
Et puis, il y a une nouvelle saison sur Master Business, avec trois nouvelles formations à venir.
Frédéric Mai
Eh bien, c'est top, c'est top. Bravo ! Et bien merci omar pour ce beau programme. Et Omar, souhaiterais-tu rajouter quelque chose ?
Omar Villalobos (traduction)
Merci pour cet entretien. Merci pour cet entretien à tous les deux, pour le temps qui est pris pour connaître plus Omar. Et j’ai une question : Est-ce qu'on a fait l'amour aujourd'hui ?
Frédéric Mai
Oui. En tout cas, merci. Merci Omar. Merci à toutes et à tous.
Omar, où est ce qu'on peut te retrouver sur les réseaux sociaux ? Où est ce qu'on peut te découvrir dans le monde francophone ?
Omar Villalobos (traduction)
Recherchez Omar Villalobos, via les réseaux sociaux, principalement sur la chaîne YouTube, où il n'y a pas spécialement de traduction. Mais vous comprendrez vite, rien qu’en regardant les vidéos.
Frédéric Mai
Je tiens également à te remercier Maud, Maud Bailhache sans qui ce rendez-vous n'aurait pu avoir lieu. Merci encore Maud. Merci beaucoup. C'était super, tu as vraiment assuré.
Et je vous donne rendez-vous très bientôt pour un nouvel épisode de ma vie. Prenez soin de vous, je vous embrasse, Bye.
Merci pour votre attention. C'était Frédéric Mai pour l'émission Oser Ma Vie. Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux ou sur mon site internet, coaching-personnel.fr.
Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à réagir aux commentaires ou à laisser un petit audio, ou à lever le pouce pour aimer ce podcast.
Enfin, je reste disponible pour vous donner toutes les informations sur mes accompagnements Oser ma vie, Oser mon job ou Oser mon business, et établir avec vous un plan d'action personnalisé.
Prenez soin de vous et à très bientôt.